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   # Chapter 18: The Return of Doudourax the Deranged
(In which an ancient hero is awakened… or possibly a massive mistake.)

A FORBIDDEN NAME, A FORGOTTEN LEGEND
In the secret archives of the hollow log, Castagnor opened a drawer sealed with blueberry resin. Inside was a name scribbled in red sap, forbidden, surrounded by doodles of explosions, flying pies, and decapitated plushies.

— “Doudourax…” he whispered.
— “You mean… THE Doudourax?” Belladonna choked.
— “The one who tried to overthrow the Forest Council with mechanical beavers?”
— “And convinced a field of dandelions to vote for him?” added Pluminette.

Speedo slowly raised an eye.

— “I thought he retired… to the Pillow Mountain…”

— “He did. But he owes us a favor. And he hates cats. He’s our only chance.”

THE JOURNEY TO PILLOW MOUNTAIN
To reach Doudourax’s lair, they had to cross:

The Snoring Swamp (where even the mud naps)

The Gossip River (each wave tells a different false secret)

And finally, ascend Pillow Mountain—a towering heap of moss, feathers, and discarded stuffed animals

Jean-Rasoir, in tears:
— “It’s the most beautiful place I’ve ever seen. And so… flammable!”

DOUDOURAX, KING OF DESTRUCTIVE SNUGGLES
At the summit, in a castle made of quilts, sat Doudourax the Deranged.

A huge creature, half-plush-bear, half-punk-hedgehog, wearing a helmet made of pistachio shells and a cape sewn from enchanted old handkerchiefs.

— “WHO DARES INTERRUPT MY WAKING DREAM?!”

Castagnor bowed.
— “The forest needs you. The Attic Cats are preparing a hypnotic opera. And without you, everyone’s going to sing off-key and obey a monocled feline.”

Doudourax stared into the void. Then bounced on a croissant-shaped trampoline.

— “I ACCEPT. But I demand… A GIANT COOKIE.”

Belladonna sighed.
— “Fine. We’ll have it delivered by heron express.”

THE MAD PLAN
Doudourax unveiled a plan as absurd as it was ambitious:

He’d build a fake traveling opera called “The Furious Dodo Symphony”

He’d trap the Cats with explosive props, off-key notes, and costumes made of synthetic fox fur

And he’d play the lead role himself, disguised as a Venezuelan soprano

Castagnor, worried:
— “This plan is dangerous. Unpredictable. Possibly idiotic.”

Jean-Rasoir:
— “So… we’re doing it?”

They all nodded. Slightly terrified. Slightly thrilled.

AND NOW WHAT?
The operation was on. The fake opera would be staged in two days.

Meanwhile, the Attic Cats were rehearsing their mind-bending performance.

The war of notes was approaching.

And somewhere in the shadows… a giant hamster was sharpening his teeth.
  
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# Chapitre 18 : Le Retour de Doudourax le Dingo
(Où l’on réveille un ancien héros… ou peut-être un très gros problème.)

UN NOM INTERDIT, UN HÉROS OUBLIÉ
Dans les archives secrètes du vieux tronc creux, Castagnor ouvrit un tiroir scellé à la résine de myrtille. À l’intérieur : un nom griffonné à la sève rouge, interdit, entouré de dessins d’explosions, de tartes volantes et de peluches décapitées.

— “Doudourax…” murmura-t-il.
— “Tu veux dire… LE Doudourax ?” s’étrangla Belladonna.
— “Celui qui a tenté de renverser le conseil forestier avec des castors mécaniques ?”
— “Et qui a convaincu un champ de pissenlits de voter pour lui ?” ajouta Pluminette.

Speedo leva lentement un œil.

— “Je croyais qu’il s’était retiré… dans la Montagne aux Oreillers…”

— “Il s’est exilé là-bas, oui. Mais il nous doit un service. Et il déteste les chats. C’est notre seule chance.”

VOYAGE VERS LA MONTAGNE AUX OREILLERS
Pour atteindre l’antre de Doudourax, il fallait traverser :

Le marécage qui ronfle (où même la boue fait la sieste)

La rivière de la Rumeur (chaque vague raconte un secret faux)

Et enfin, gravir la Montagne aux Oreillers, une montagne de mousse, de plumes, et de peluches abandonnées

Jean-Rasoir, en larmes :
— “C’est le plus beau lieu que j’ai jamais vu ! Et potentiellement très inflammable !”

DOUDOURAX, ROI DES CÂLINS DESTRUCTEURS
Au sommet, dans un château de couettes, trônait Doudourax le Dingo.

Une créature énorme, mi-ours en peluche, mi-hérisson punk, arborant un casque de coquilles de pistache et une cape cousue en vieux mouchoirs enchantés.

— “QUI OSE DÉRANGER MON RÊVE ÉVEILLÉ ?!”

Castagnor s’inclina.
— “La forêt a besoin de toi. Les Chats du Grenier préparent un opéra hypnotique. Et sans toi, tout le monde va se mettre à chanter faux et obéir à un chat en monocle.”

Doudourax fixa le vide. Puis sauta sur un trampoline en forme de croissant.

— “J’ACCEPTE. Mais je veux en échange… UN BISCUIT GÉANT.”

Belladonna soupira.
— “Très bien. On te fera livrer ça par héron express.”

LE PLAN DE FOLIE
Doudourax proposa un plan aussi absurde qu’ambitieux :

Il construirait un faux opéra itinérant, "La Symphonie du Dodo Furieux".

Il piégerait les Chats avec des décors explosifs, des notes fausses et des costumes en poils de renard synthétique.

Et il jouerait le rôle principal lui-même, déguisé en soprano vénézuélienne.

Castagnor, inquiet :
— “Ce plan est dangereux. Incontrôlable. Potentiellement débile.”

Jean-Rasoir :
— “Donc… on dit oui ?”

Tous hochèrent la tête. Légèrement terrifiés. Légèrement excités.

ET MAINTENANT ?
L’opération était lancée. Le faux opéra serait monté en deux jours.

Pendant ce temps, les Chats préparaient leur spectacle mental.

La guerre des notes approchait.

Et quelque part, dans l’ombre… un hamster géant affûtait ses dents.
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